Google a annoncé, mercredi 5 novembre, qu’il renonçait au partenariat commercial avec son rival Yahoo! en raison des difficultés à convaincre les autorités de la concurrence du mérite de cet accord. Un partenariat sur dix ans avait été annoncé en juin alors que Yahoo! était en plein bras de fer avec le géant informatique Microsoft, qui voulait le racheter. Il aurait permis notamment à Yahoo! d’afficher sur ses pages des liens sponsorisés négociés par Google, et de partager les revenus.
Son entrée en vigueur avait dû être retardée en raison des objections soulevées par les autorités de la concurrence, auxquelles, selon le Wall Street Journal de lundi, Google et Yahoo! avaient présenté une proposition amendée. A eux deux, Google et Yahoo! encaissent plus de 50 % des recettes mondiales de la publicité en ligne. Ils contrôlent ensemble 75 % des recherches sur Internet et des recettes publicitaires qui en découlent.
“Il est clair que l’accord continuait à inquiéter les autorités de régulation et certains annonceurs”, a expliqué, sur le blog officiel du groupe, le directeur juridique David Drummond. “Persévérer risquait non seulement de lancer une longue bataille juridique, mais aussi de nuire aux relations établies avec des partenaires établis. Cela n’aurait pas été dans l’intérêt à long terme de Google ou de nos utilisateurs. Donc, nous avons décidé de mettre fin à l’accord.”
Yahoo! s’est dit pour sa part “déçu que Google ait choisi de se retirer de l’accord au lieu de le défendre devant les tribunaux”.
Yahoo! veut tester un partenariat avec son rival Google sur les publicités en ligne, où Yahoo! intégrerait dans les pages de son moteur de recherche des publicités placées par Google, écrit le Wall Street Journal mercredi.
Ce test de court terme, qui ne concernerait qu’une très faible part des requêtes effectuées sur le moteur de recherche de Yahoo!, vise à permettre aux deux groupes d’évaluer les recettes potentielles d’un partenariat plus large, où Yahoo! sous-traiterait à Google les publicités de ce type, selon le WSJ.
Ce test limité n’est pas de nature à empêcher une éventuelle vente de Yahoo! à Microsoft, mais il servirait de signal à Microsoft et aux investisseurs, selon la même source .
Les analystes estiment depuis longtemps que Yahoo! gagnerait à déléguer à Google les publicités placées à côté des recherches sur internet, car la plate-forme technique de Google génère bien plus de recettes pour chaque recherche que celle de Yahoo!. Dans un accord de ce genre, Yahoo! garderait la majorité des recettes et Google une minorité à titre de commission.
Ce type d’accord pourrait cependant poser des problèmes de concurrence, étant donné la part de marché cumulée des deux moteurs de recherche, les deux premiers du monde.
Google Australie lance aujourd’hui la version 0 de gDay™ et MATE™, deux outils révolutionnaires qui, en utilisant un algorithme prédictif inventé en 1832 par un chercheur russe, permettront aux annonceurs d’acheter les mots les plus recherchés plus de deux semaines à l’avance !
En effet, Google est aujourd’hui en mesure de prédire le contenu des sites avant même que ceux-ci ne soient concus. On en parlait depuis plusieurs semaines et Confidentiel Telecom l’a déniché pour vous sur la toile ICI. Si vous voulez vous inscrire à la beta de gDay™ et MATE™, c’est ICI.
Au Mobile World Congress de Barcelone, Google a présenté, comme attendu, Android son système d’exploitation pour mobile.
Certain fabricants de puces, comme Freescale, Marvell, NEC Electronics, Qualcomm et Texas Instruments, ont présenté des prototypes et des tests de faisabilité – un assemblage de composants parfois imposants - embarquant Android. Tous se basent sur la technologie matérielle d’ARM, le constructeur britannique spécialisé dans les semiconducteurs, et espèrent pouvoir proposer leurs solutions au second semestre 2008.
Yahoo pourrait étudier une alliance stratégique avec son concurrent Google pour se défendre face à l’offre lancée sur lui par Microsoft, selon une source proche de la stratégie de Yahoo.
Ce dernier envisage de reprendre contact avec Google, premier moteur de recherche sur internet, avec qui il avait discuté pendant plusieurs mois d’une alliance alternative, a ajouté la source.
Yahoo s’estime sous-évalué par l’OPA non sollicitée de 44,6 milliards de dollars (30 milliards d’euros), soit 31 dollars par titre, annoncée vendredi par le géant du logiciel Microsoft, ont précisé de leur côté deux sources dimanche. <Lire la suite>
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