Après un démarrage très fort au cinéma, les p’tits gars du nord s’attaquent aussi au web.
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Selon France Soir, l’iPhone pourrait bientôt être vendu à moins de 100 euros alors qu’actuellement, son prix de vente varie de 99 à 249 euros.
En effet, l’opérateur allemand T-Mobile a baissé, de manière importante, le prix de l’iPhone et c’est une offre qui devrait continuer jusqu’à la fin du mois de juin, outre-Rhin. Alors, info ? intox ? … ou tout simplement un poisson d’avril hors saison ?
Selon une étude signée Arbor Network, l’iPhone sera l’une des cibles préférées des pirates en 2008. Les assauts prendront différentes formes : malwres et virus embarqués dans des fichiers images ou textes qui risquent de mettre à mal le navigateur du mobile. Arbor Network se montre d’autant plus pessimiste que les analystes anticipent une concurrence acharnée entre les pirates qui veulent être les premiers à endommager une nouvelle plateforme.
L’étude souligne aussi l’arrivée massive des hackers chinois. Elle rappelle que ces dernières années, des attaques en langue chinoise ont pu prospérer comme QQ Messenger. Arbor redoute la montée en puissance des mafias chinoises, nombreuses, bien organisées et surtout capables de monter des attaques de plus en plus sophistiquées.
L’étude redoute enfin pour l’an prochain une attaque générale provoquée par le botnet Storm. Pour l’instant, l’horizon est calme, mais il semble bien que des dizaines de milliers de PC dans le monde soient infectés, et que les pirates n’attendent qu’une opportunité « lucrative » pour passer à l’exécution.
Développé par un amateur sur un iPhone piraté, un concept ingénieux utilisant écran tactile et accéléromètre fait parler de lui. Et relance le débat sur l’attribution de brevets logiciels, alors que les “petits” cherchent à protéger leurs idées des grands studios.
La démonstration en vidéo
Quel point commun entre un personnage virtuel du site Second Life et un habitant du Brésil? Tous deux consomment en moyenne la même quantité d’électricité chaque année, une comparaison qui illustre la voracité énergétique d’internet.
Pour “vivre”, les “avatars” de Second Life, ces personnages que tout un chacun peut créer et faire évoluer dans un univers sur internet imitant la vie réelle, ont besoin de centres de données géants (data centers), extrêmement gourmands en énergie. <Lire la suite>
Source AFP, mars 2008
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